Toute la violence des hommes de Paul Colize

Une jeune femme est retrouvée dans son appartement bruxellois, tuée de plusieurs coups de couteau. Tout accuse Nikola Stankovic, artiste marginal, dernière personne que la victime a appelée avant sa mort. Il apparaît sur les caméras de surveillance juste après le meurtre, la police retrouve ses vêtements maculés de sang et découvre des croquis de la scène de crime dans son atelier. Sous ses airs d’enfant perdu, Nikola est un graffeur de génie que la presse a surnommé le Funambule après l’apparition d’une série de fresques anonymes ultra-violentes dans les rues de la capitale. Muré dans le silence, sous surveillance psychiatrique, le jeune homme nie tout en bloc. Pour seule ligne de défense, il ne répète qu’une phrase : « C’est pas moi ».

Plus qu’un polar, c’est un roman noir passionnant qui mêlent l’histoire (la guerre de Croatie notamment le massacre de la ville de Vukovar en 1991, le suspense, l’art et la psychologie.

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