Trouver l’inspiration n’est pas facile, alors voici quelques pistes pour vous lancer !
Pourquoi pas…
Un haïku : le Haïku est un poème japonais composé de trois vers. Elaboré sur le rythme 5 / 7 / 5, il retranscrit la beauté fugace d’un instant de vie, il exprime un sentiment éphémère mais fort. Voici un exemple écrit par Hélène G :
CONFINÉ
Coeurs épris de liberté
On ne peut pourtant que se limiter
Nul besoin de se torturer
Fini les déplacements pour un temps
Inventons d’autres moyens d’être en lien et en mouvement
Nouvelle façon de penser, nouvel élan
Élaborons ensemble un monde parfait pour nous et nos enfants
Coeurs épris de liberté
On ne peut pourtant que se limiter
Nul besoin de se torturer
Fini les déplacements pour un temps
Inventons d’autres moyens d’être en lien et en mouvement
Nouvelle façon de penser, nouvel élan
Élaborons ensemble un monde parfait pour nous et nos enfants
Ou encore…
Un acrostiche : Poème ou strophe où les initiales de chaque vers, lues dans le sens vertical, composent un nom ou un mot-clé.
Pour que je puisse m’installer
Rouge-gorge s’en est allé
Il faut maintenant que le soleil
Nous fasse chaud à son réveil
Tout est beau dans la nature
Et moi j’arrive à toute allure,
Me glissant dans les prés verts
Pour faire tout fleurir en un claire
Sous la pluie douce après l’hiver
Christine K
Et aussi…
Un récit collaboratif ! Ou comment écrire un récit original, à plusieurs mains… Voici deux amorces différentes, rédigées à 2, à vous de les compléter, même avec une seule phrase. L’histoire va s’écrire au fur et à mesure de vos contributions !
Ce matin, c’est la pluie qui m’a réveillé(e), elle frappait doucement à la fenêtre. Seul le chant du merle l’accompagnait. J’ai gardé les yeux fermés, me laissant bercer par cette douce mélodie.
Puis, j’ai perçu l’odeur familière du café fraîchement passé. Cette odeur que j’aime tant, si singulière et rassurante qui éveille mes sens un à un. C’est l’heure de m’extraire de mon nid douillet. Alors…
Puis, j’ai perçu l’odeur familière du café fraîchement passé. Cette odeur que j’aime tant, si singulière et rassurante qui éveille mes sens un à un. C’est l’heure de m’extraire de mon nid douillet. Alors…
Elle court, court comme si le diable était à ses trousses, elle est hors d’haleine, ses cheveux volent au vent, ses talons martèlent le pavé, mais que fuit-elle, où va-t-elle ?…
Terrorisée, dans un état second, elle n’a plus la notion ni du temps ni de l’espace. Le plus important est de ne pas relâcher son rythme effréné. Partir loin, surtout le plus loin possible…
C’est à vous !